Parution : imagine… 22, Montréal, 1984, p. 37-43.
Gilles Pellerin se penche plus particulièrement sur le recueil Le Mangeur de livres. Il constate que « si les produits fantastiques appartiennent en propre à Bélil, les procédés, eux, relèvent de la tradition, du consensus fantastique ». Il note également un effet de surdétermination fantastique dans ces nouvelles qui « ont une fonction esthétique, celle de donner un visage à l’horreurochose ».
Source : Janelle, Claude, L'ASFFQ 1984, Le Passeur, p. 129-130.