Parution : Nuit blanche 12, Québec, 1984, p. 43-45.
L’auteure considère l’utopie comme l’expression privilégiée de l’espérance que secrète chaque société, ce qui en fait un « élément moteur du changement social-historique ». La conscience utopique s’élabore toujours à partir du rapport idéalité-réalité, de l’antagonisme passion-raison. Diane Moktar croit que cette dynamique assure aux sociétés leur équilibre et une impulsion qui les projette vers l’espace-temps idéal.
Source : Janelle, Claude, L'ASFFQ 1984, Le Passeur, p. 129.