À propos de cette édition

Éditeur
Ashem Fictions
Genre
Science-fiction
Longueur
Courte nouvelle
Paru dans
Roberval fantastique
Pagination
18-19
Lieu
Roberval
Année de parution
1998
Support
Papier

Résumé/Sommaire

Une narratrice observe les reflets à la surface de l’eau. Elle aperçoit une créature au fond du lac, étrange, aux yeux orange. La créature grogne, des bras émergent de la surface et attirent l’observatrice au fond de l’eau. Cette dernière perd tout d’abord connaissance, mais elle reprend conscience et réussit à remonter tant bien que mal à la surface. Mais maintenant le ciel est vert, le gazon rouge, toutes les couleurs sont déréglées. La narratrice conclut que l’eau idéale n’existe pas.

Commentaires

Tout n’est pas très clair dans cette nouvelle fantastique, et les développements plutôt arbitraires. Par exemple, même après plusieurs lectures (le texte est très court), je n’ai pas compris en quoi l’inversion des couleurs du monde permettait à la narratrice de conclure que l’eau parfaite n’existe pas. Mais il serait inconvenant ici d’insister sur les lacunes d’une nouvelle écrite en une heure dans le cadre d’un concours d’écriture sur place. C’est l’équivalent littéraire d’un sketch improvisé : si ça marche, tant mieux, mais il arrive que ça ne fonctionne pas et ce n’est pas grave. On se reprendra la prochaine fois. [JC]

  • Source : L'ASFFQ 1998, Alire, p. 150.