À propos de cette édition
Résumé/Sommaire
Sur Sigma-Beth, il existe deux cités : Italic, équipée d'un spatioport, et Odyssa, entourée de montagnes. Le reste de la planète est recouvert de micro-organismes qui bouffent tout sauf la pierre, le flexiglass, qui protège les villes, et certains métaux comme le transmium, produit par ces mêmes bestioles. Un pilote d'hélicoptère faisant la navette éprouve soudain des ennuis techniques. Il s'écrase dans la mer jaune. Face à une mort certaine, il sera confronté à une révélation de taille.
Commentaires
Sur un thème assez commun en science-fiction, Patrick Labelle brode une courte mais agréable nouvelle. Il évite l'encombrement en ne conservant que l'essentiel et s'efforce plutôt d'exploiter le thème de façon sobre, sans prétention.
Comme Labelle a délibérément choisi la voie de l'action, il utilise des phrases assez courtes qui précipitent le mouvement et sa chute, puisqu'il s'agit d'une histoire à chute, est tout à fait acceptable.
« La Mer jaune » mérite l'attention du lecteur, de même que son auteur, qui a rarement déçu depuis que nous le suivons. [GG]
- Source : L'ASFFQ 1985, Le Passeur, p. 64.