Roberval fantastique

[8 FA ; 7 SF ; 2 FY ; 3 HG]
Rouge, d'Alain Bergeron
Ici, enfin, de Julie Martel
Comme une ombre dans la pluie, de Hugues Morin
Sans titre, de Francine Pelletier
Le Clou dans l'eau, de Natasha Beaulieu
L'Eau ou ses reflets, de Marianne Saint-Pierre
Comme d'habitude, de David Simard
Ressac, de Patrick Senécal
Était-ce vraiment de l'eau ?, de Marc-André Ferguson
Doute fatal, de Claude Janelle
L'Eau ou ses reflets, de Richard Blanchette
Souvenir de voyage, de Sylvie Lamothe
Avant la lumière, de Claude Mercier
Néons roses et bleus dans un salon désert (fin), de Daniel Sernine
Les Amis de la forêt (extrait), de Joël Champetier
Sirènes, d'Éric Bourguignon
Minquête, de Guy Sirois
Veilleurs de nuit, de Jean Pettigrew
Terra incognita '94 : Golem, de Thierry Vincent
La Coagulation des vouivres, de Laurent McAllister

Organisateur en chef de la rencontre « Roberval fantastique », Hugues Morin, qui est aussi le fanéditeur derrière la maison de microédition Ashem Fictions – HM, vous aviez saisi ? –, a publié un numéro spécial immortalisant l’événement. Au sommaire, les textes des participants au concours d’écriture sur place, mais aussi plusieurs autres, pour la plupart des reprises, de quelques autres auteurs présents à la manifestation.

Le résultat est intéressant, Morin ayant eu la main heureuse en présentant les participants du concours comme autant de passagers de ce beau voyage dans l’imaginaire. C’est ainsi qu’Alain Bergeron, gagnant du concours, est devenu le capitaine du vaisseau et que les autres ont été regroupés sous les noms d’équipage, de matelots ou de passagers. Quant à ceux qui n’avaient pas participé, Hugues Morin les a nommés les observateurs – ce qui était vrai de la plupart, d’ailleurs. Enfin, les illustrateurs qui ont bien voulu illustrer certains textes ont reçu le nom de cartographes.

En tout, donc, vingt textes qui n’appartiennent cependant pas tous aux genres que nous couvrons. On s’en doutera, ils sont d’inégale longueur et – c’est inhérent à ce genre de concours – d’inégale valeur. Qu’à cela ne tienne, cette fin de semaine où l’imaginaire a régné en maître a trouvé un support sympathique. [JPw]

• Source : L'ASFFQ 1998, Alire, p. 126.