À propos de cette édition

Éditeur
Les Compagnons à temps perdu
Genre
Science-fiction
Longueur
Revue
Format
Revue
Pagination
72
Lieu
Hull
Année de parution
1989
Support
Papier
Illustration

Résumé/Sommaire

[5 SF]
Eaux mortes, eaux vives, de Francine Pelletier
Le Jour-de-trop, de Joël Champetier
La Saison du miracle, de Michel Martin
Antarctica, d'Yves Meynard
Akimento, de Claude-Michel Prévost

Commentaires

Splendeurs et misères d'une revue de SF

Mike Archaw profite de ce numéro qui souligne le quinzième anniversaire de Solaris pour tracer un portrait de l’évolution de la revue au cours des ans. Son analyse porte sur la présentation matérielle et le contenu éditorial de la revue. Il rappelle d’abord que Requiem (nom originel de Solaris) s’est constitué sur le modèle anglo-saxon des fanzines et a découlé de la volonté de créer un lieu où il était possible de parler de la science-fiction et du fantastique. Il constate que le fanzine créé par Norbert Spehner se distingue très tôt de son modèle en accordant une place importante à la fiction et que le contenu éditorial a toujours été davantage axé sur la SF que sur le fantastique. Il découpe l’évolution de la revue en plusieurs phases tout en insistant sur la continuité du projet éditorial initial. Il conclut en soulignant que l’ouver­ture de la rédaction, qui se traduit par le pluralisme des approches et des intérêts pour les diverses formes de création en SF, assure à la revue sa pertinence essentielle.

Source : Janelle, Claude, L'ASFFQ 1989, Le Passeur, p. 230.