À propos de cette édition
Résumé/Sommaire
En Oxymol, les fâmousses vivent dans le plus grand détachement à l’égard de la société qui les entoure, ne se souciant que d’eux-mêmes et de leurs performances sexuelles, méprisant la plèbe.
Commentaires
Je résume pour résumer car le texte de France Boisvert ne se résume pas. Il présente tout simplement une classe sociale d’Oxymol, les fâmousses. « La Trace de Médée » n’est pas tout à fait un extrait des Samourailles bien que ce texte corresponde à peu près aux pages 51 et 52 du roman. Il semble plutôt qu’il représente l’embryon à partir duquel s’est développée l’écriture du roman.
« La Trace de Médée » n’a aucune valeur littéraire en soi si ce n’est de servir de vitrine au roman comme la page quatre de couverture. Si vous avez de la difficulté à supporter ce style pendant deux pages, songez que le roman en fait plus de 200 et qu’il est de la même farine… Vous êtes avertis. Et si vous avez des doutes, prière de lire mon commentaire sur Les Samourailles. [CJ]
- Source : L'ASFFQ 1987, Le Passeur, p. 47.