À propos de cette édition
Résumé/Sommaire
Un voyageur, en route vers « le continent au-delà de la mer », s’arrête au château de son illustre cousin Elmire pour un dernier repas à la veille de l’embarquement. Là, il rencontrera une demoiselle très belle, aventurière comme lui, et c’est avec le souvenir de son visage qu’il s’embarquera pour l’inconnu.
Commentaires
Étrange texte que cette courte nouvelle, à croire que l’auteur ne nous a servi que le prologue d’une histoire de fantasy classique. Il ne s’y passe à peu près rien, c’est une histoire avant l’histoire, tout est en potentialités, en non-dit. Je n’ai pas détesté, au contraire. Szczerbinski a un certain talent pour la création d’atmosphère et il s’améliore de texte en texte. Il est simplement dommage que le plaisir de lecture soit terni par de trop fréquentes fautes de style et de syntaxe.
Szczerbinski étant son propre éditeur, je lui suggérerais de faire lire ses textes à un critique impartial avant de les publier, ça nous aurait peut-être évité des phrases comme « Mes yeux prirent un moment, durant lequel je fus moi aussi remarqué, pour s’habituer à la beauté de la demoiselle que je venais d’apercevoir. » Je lui suggérerais également de faire attention à la mise en page : je n’ai pas compris si les deux citations de Marillion en page 11 faisaient partie ou non du texte. Si oui, elles étaient beaucoup trop longues : on ne met pas une citation de 26 lignes dans un texte de deux pages ! [JC]
- Source : L'ASFFQ 1991, Le Passeur, p. 167.