Gilles MARCOTTE

Gilles Marcotte complète un baccalauréat ès arts au Séminaire Saint-Charles-Borromée de Sherbrooke, une maîtrise ès arts à l’Université de Montréal en 1951 et un doctorat en littérature française à l’Université Laval en 1969. Il débute dans le journalisme en 1947 à La Tribune de Sherbrooke, puis il passe au Devoir deux ans plus tard. Il se dirige ensuite vers les communications audiovisuelles : il travaille comme réalisateur à Radio-Canada, de 1955 à 1957, puis comme recherchiste et scénariste à l’Office national du film, de 1957 à 1961. Il revient ensuite au journalisme écrit en devenant directeur des pages Arts et lettres de La Presse. En 1966, il entreprend une carrière d’enseignant quand il est nommé professeur au département d’études françaises de l’Université de Montréal. Il a reçu de nombreux prix pour ses essais littéraires, notamment le Prix du Gouverneur général en 1962 et le prix France-Canada en 1963 pour Une littérature qui se fait, le Grand Prix littéraire de la Ville de Montréal en 1970 pour Le Temps des poètes et le prix Athanase-David pour l’ensemble de son œuvre en 1997.

Auteur/autrice

• Au sous-sol

   (1989) - Nouvelle

• Bonheur de voyager

   (1989) - Nouvelle

• Comédie

   (1989) - Nouvelle

• I Love Paris

   (1989) - Nouvelle

• Il s'appelle Théodore

   (1989) - Nouvelle

• Job, les trois amis, la Révolution tranquille et l'Autre (le Tout-Puissant)

   (1989) - Nouvelle

• Vie réelle (La)

   (1989) - Recueil

• Basile, Jean, « Gilles Marcotte entre la réalité et la fiction », La Presse, 16-09-1989, p. K 1 et K 2.
• Dorion, Gilles, « L'institution, c'est une production du discours », Québec français 76, p. 72-74.
• Dumont, François, « Gilles Marcotte. Le critique et l'écrivain », Nuit blanche 38, p. 16-19.